dimarts, 29 d’abril del 2008

www.sophiebreuls.com

Ja està acabada en lloc web de la Sophie.

Us convido a visitar-la.

http://www.sophiebreuls.com/

Déjà la page de Sophie est achevée.
Je vous invite à la visiter.

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dilluns, 28 d’abril del 2008

diumenge, 27 d’abril del 2008

Collserola el dia de la Mare de Déu de Montserrat

Aquest matí hem anat a caminar per la muntanya de Collserola al costat del Tibidabo.


Ha vingut la Susana i el Jordi a part de la Mama el Papa i el Padrí.


Després hem visitat a la Mare de Déu de Montserrat ja que avui es el dia al mateix temple del Tibidabo.

Moltes felicitats a totes les Montserrats!!!

dimecres, 23 d’abril del 2008

Sant Jordi

Qui va ser Sant Jordi?

El nom de Jordi és un mot grec que vol dir el qui treballa la terra, llaurador o pagès.
El més important és que Sant Jordi va ser un màrtir. Mot grec que significa testimoni, és a dir, la persona que compareix a declarar davant la justícia, el que ha vist o sentit, que compareix a certificar la identitat d'algú, l'exactitud d'una declaració...com diu el diccionari Pompeu Fabra.
Quan en els primers segles després de Crist els seus seguidors es negaven a adorar com un Déu l'emperador romà, declaraven que l'únic Déu que podien adorar era Jesucrist. Aquest testimoniatge era castigat amb la pena de mort.
Per això la paraula màrtir ben aviat es va aplicar a aquelles persones que havien donat la seva sang per causa de la seva fe en el Crist.
Arran d'aquests màrtirs es redactaren cròniques que que eren llegides a reunions cristianes el dia de l'aniversari de la mort del màrtir, que de fet representava el dia del naixement, l'inici d'una vida eterna. Sant Jordi, Patró de Catalunya.
Entre els molts milers de màrtirs, Sant Jordi va gaudir de molta veneració i popularitat universal durant els temps medievals. El fet de ser cavaller li donava categoria entre la gent d'armes. Això féu que l'escollissin per patró de la cavalleria i noblesa catalana.
Per festivar el Sant, a Barcelona, la noblesa havia celebrat en el Born, torneigs, justes i altres jocs d'armes, que havien revestit gran solemnitat i donaven a la festa un to senyorívol i aristocràtic que n'allunyava el poble.
Avui en dia, en el nostre país, la figura de Sant Jordi es troba en molts àmbits: pintures, escultures gravats,...segells, monedes, banderes, vestits, brodats, rajoles, mobles, ceràmica, joies, miniatures... D'altra banda, pensem amb persones que coneguem i se'n diguin amb aquest nom.
Tot plegat és prou significatiu com per creure que és una figura ben viva, i que ha deixat empremta en el record de la gent. Ha format part del nostre folklore. Paraula anglesa que significa la saviesa del poble.

dimarts, 22 d’abril del 2008

Internet

El padrí no té internet encara i no pot actualitzar la pàgina com voldria, esperem que aviat torni a tenir linea a l'exterior i pugui explicar les coses que ens passen, que aquesta edat son moltes i divertides.
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Le parrain n'a pas d'Internet encore et ne peut pas actualiser la page comme il(elle) voudrait, nous espérons que tôt il(elle) recommence à avoir une ligne à l'extérieur et peut expliquer les choses qui nous passent, qui cet âge sont beaucoup et amusantes.

dilluns, 21 d’abril del 2008

Standard champion


Mbokani a frappé fort(GDS - Didier Schyns) Le FC Bruges contraint au partage à La Gantoise, le Standard n’a pas laissé passer l’occasion, hier soir, de dompter Anderlecht pour fêter le neuvième titre de champion de son histoire. Grâce à deux buts de Dieumerci Mbokani, l’ancien Mauve, buteur providentiel d’une formation liégeoise qui aura marqué la saison 2007-08 de son empreinte. Le stade de Sclessin a littéralement tremblé sur ses bases et évacué, en une fraction de seconde, vingt-cinq longues années de frustration. Balayées, ironie du sort, par un ancien Anderlechtois, Dieumerci Mbokani,l'auteur des deux buts, dont celui d'ouverture, à la 54e minute de jeu, lorsqu'il se jeta tête en avant sur un centre tranchant de Réginal Goreux. C'est un véritable tourbillon de folie qui s'empara alors des bords de Meuse, qu'un coup de réparation refusé par Frank De Bleeckere pour une faute de Van Damme sur Jovanovic, à un quart d'heure du coup de sifflet final, ne tempéra même pas. Parce que Mbokani encore lui,décidément en verve, ne tue tout suspense à la 77e minute en lobant Schollen pour faire chavirer tout Sclessin de bonheur. Un scénario logique:au prix d'une 2e mi-temps menée tambour battant, le Standard avait étouffé le Sporting dans l'œuf et aurait pu donner au score des proportions plus importantes, si Jovanovic et Goreux avaient été plus heureux. Le Standard et Anderlecht s'étaient livrés,tout au long d'une première mi-temps alerte et électrique,un chassé-croisé sans temps mort. Marqué, côté anderlechtois, par trois possibilités franches, pour Frutos d'abord qui, plus prompt que Sarr, avait vu sa reprise de la tête filer à droite du but liégeois, avant d'à nouveau rater la cible suite à une sortie ratée d'Espinoza, par Gillet ensuite, qui ne dut qu'à une sortie kamikaze du gardien équatorien de ne pas ouvrir le score.Aux velléités offensives d'Anderlecht, le Standard, au prix d'un jeu plus direct,avait à chaque répliqué du tac au tac. Mieux, il aurait trouvél'ouverture si Schollen ne s'était interposé coup sur coup devant Jovanovic, puis Mbokani qui,d'une déviation de la tête, avait isolé l'attaquant serbe. Schollen s'était encore mis en évidence en se jetant dans les pieds d'un Jovanovic déséquilibré par Van Damme, avant de voir passer, sur un coup de coin délivré par Defour, une tête de Fellaini juste à côté de son but. Avant le double coup de tonnerre de Mbokani et l'hommage rendu partout un stade à Michel Preud'homme..."On y croyait depuis le départ"Michel Preud’homme y est arrivé. Il a réussi à conduire son Standard au titre de champion. Un objectif auquel il croyait dès le départ, même s’il ne l’a pas crié sur tous les toits. Son nom a été scandé par tout le stade pendant de longues minutes jusqu'au coup de sifflet final. Vingt-cinq ans après avoir conduit le Standard à son dernier titre de champion en tant que joueur, il a fait de même dans le survêt d'entraîneur principal. "Ce qui est beaucoup plus difficile à vivre. En début de championnat, ce groupe avait un projet auquel personne ne croyait, dont peu de personnes étaient d'ailleurs au courant.", expliquait à chaud le coach du Standard. "Pourtant, nous y sommes arrivés. Mais ce n'était pas une partie de plaisir. Ce titre, je le qualifierais même de miracle car ce n'était pas évident du tout. Cerise sur le gâteau, on l'a remporté face à Anderlecht. Mais ce plaisir-là, je le laisse aux supporters. Pour nous, honnêtement, le nom de l'adversaire importait peu. L'essentiel, c'était de concrétiser cet objectif commun, le rêve de tout un club. J'ai du mal à cacher mon bonheur. Je vais pouvoir recommencer à dormir. Les supporters du Standard ont été ridiculisés par beaucoup d'autres et je voulais leur donner ce titre pour cela aussi."Luciano D'Onofrio, après avoir passé toute la rencontre en loges avec Bernard Tapie et Zinedine Zidane, lançait des fleurs à son entraîneur. "C'est en effet la victoire de Michel Preud'homme mais pas seulement.", lançait-il. "Ce titre, ce n'est pas la victoire d'une ou deux personnes mais de tout un groupe, tout un club. C'est un tout,un ensemble dont on ne peut isoler aucun élément. Je vous rassure, il ne faut pas avoir peur d'éventuels départs de nos meilleurs joueurs en fin de saison. Quoi qu'il en soit, on ne va pas parler de ça aujourd'hui, d'autant que le discours était déjà le même il y a un an. Au final, tout le monde était resté. L'important désormais, c'est de poursuivre sur cet enthousiasme et de préparer une équipe compétitive pour la Ligue des Champions. Et je vous le promets."Héros de ce Standard-Anderlecht de légende, Dieumerci Mbokani a marqué hier les esprits. "J'avais dit que j'étais plus fort que Frutos, parce... la presse aime de telles déclarations. Mais je le pense aussi... Mes deux buts et ce titre offert au Standard, ce n'est pas une revanche par rapport à Anderlecht. À l'inverse de Tchite, j'ai effectué un choix sportif en venant au Standard, où je savais que je pouvais bénéficier d'un temps de jeu plus important que dans la capitale, même si ce ne fut pas facile au début puisque je n'étais pas le numéro 1 dans la hiérarchie." L'international congolais s'était fixé un total de 25 buts pour sa première saison à Sclessin. Il n'y arrivera pas. Mais l'essentiel, à ses yeux, n'est pas là... "Mon objectif, désormais, c'est de rester à Sclessin jusqu'au mois de décembre au moins."Igor de Camargo,qui a terminé le match avec le brassard de capitaine au bras, ne cachait pas sa satisfaction. "Le jour où j'ai signé au Standard, Michel Preud'homme m'avait dit qu'on serait champion. C'est pour vivre des moments pareils, avec un public de rêve, que j'ai opté pour le club liégeois. Il n'y avait pas plus belle apothéose que d'être champion face à Anderlecht..."RéginalGoreux: "Être champion contre Anderlecht, c'est phénoménal. En plus, j'adresse la passe décisive sur le premier but de Dieu, que pouvais-je espérer de plus?"Manu Ferrera: "C'est extraordinaire. On n'a eu besoin de personne, on a gagné le matchqu'il fallait. L'important était de marquer le premier but. On voulait gagner, comme toujours, il n'était pas question de se contenter d'un partage. On voulait tout terminer aujourd'hui.Trente et un matches sans défaite, ça se passe de tous commentaires. Je crois qu'on va faire la fête pendant plusieurs jours."Milan Jovanovic: "Je n'étais pas dans un grand jour mais, peu importe, aujourd'hui lesautres étaient meilleurs que moi. J'ai fait du mieux que je pouvais. Chapeau à toute l'équipe."Oguchi Onyewu: "Après vingt-cinq ans d'attente, c'est fantastique pour les supporters! On a prouvé qu'on était bien les plus forts. Il n'y a rien à redire. Nous étions meilleurs en défense, au milieu de terrain et en attaque. Les Anderlechtois ne se sont pas créés une seule véritable occasion digne de ce nom. Je souhaite dédier ce titre à tous mes supporters en Amérique."Zizou a fait se lever tout Sclessin(GDS - D.Dupont) Le secret avait été bien gardé depuis plusieurs jours. Steven Defour allait recevoir son Soulier d’or des mains d’une personnalité célèbre. On avait parlé deJustine Henin ainsi que du premier ministre, Yves Leterme, ou encore Sergio Conceicao mais qui aurait pu imaginer que ce serait lui? Dans la plus pure tradition rouche, c'est un grand Monsieur du football qui avait fait le déplacement à Sclessin, par amitié pour Luciano D'Onofrio, pour remettre au meilleur joueur belge de l'année son trophée. Zinedine Zidane, puisque c'est de lui qu'il s'agit, a mis la cuvette liégeoise dans ses petits souliers. 20h32 précises: l'espace de quelques secondes et d'une apparition qui a davantage fait exploser les décibels qu'un concert des Rolling Stones, le plus grand joueur français de tous les temps a dompté la Cité Ardente. Pendant quelques instants aussi symboliques qu'historiques, on eut même la conviction que les hauts fourneaux de Cockerill avaient cessé de recracher cette fumée grise qui leur sied depuis la nuit des temps. La Meuse prit le même tempo et avait cessé son infatigable remous. "Zizou" ambassadeur d'une flopée d'associations, personnalité au grand cœur, voyageur devant l'éternel depuis qu'il a mis un terme à sa carrière après la Coupe du monde 2006 en Allemagne et la finale perdue face à l'Italie, a été accueilli dans une chaleur qui devait lui rappeler les stades qu'il a connus à travers l'Europe. Trois quarts d'heure avant le match déjà, le nom de Zinedine Zidane avait filtré dans la salle de presse, sans plus de certitude toutefois. La présence du technicien français, à vrai dire, c'était trop beau pour être vrai. Trop surréaliste. Trop gigantesque. Mais quelque chose était-il encore trop gigantesque pour ce Standard-là, prêt à réduire à néant un quart de siècle de frustration et de non-dits de plus en plus lourds à supporter? Apparemment non. Hier soir, pour le match de l'année, un Dieu est descendu sur Liège. Merci “Zizou” une minute a suffi à nous rappeler que le football, c'est avant tout une affaire d'amitié.

dissabte, 19 d’abril del 2008

17 mesos

Avui la Sophie a fet 17 mesos.

Tot al dia he estat amb el padrinet, hem anat al parc, em jugat amb els gronxadors, a la sorra fent castells de sorra, amb els cavallets i moltes coses més.

Després he dinat i els papes m'han possat a dormir, quan m'he llevat, la mama m'ha portat a la piscina i el padrí m'ha vingut a buscar per continuar jugant, jeje.

M'ho he passat molt i molt bé.


dissabte, 5 d’abril del 2008

Àngels i Berni

Avui s'ha casat el Berni i l'Àngels a Deltebre, Tarragona.

S'ha celebrat al restaurant "els Hortets".



Moltes felicitats i sort.